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Flash Info

Pour beaucoup, Pauline Croze est une inconnue. Pourtant, elle fut Disque d’Or en 2006 pour son premier album et nominée aux Victoires de la musique la même année.

Avant son départ pour les Francofolies de La Rochelle, Pauline Croze s’arrête à Morancé et nous livre son état d’esprit à quelques jours du concert.

 

Pauline Croze, la commune de Morancé vous accueille le 24 juin prochain au Chateau du Pin, un château médiéval qui surplombe le village. 

Avez vous déjà chanté dans un château ?

Jamais. Dans des cloitres, des monastères mais jamais de château. Il y règne une atmosphère particulière que j’aime beaucoup moi qui ai vécu dans le Vendomois au milieu des châteaux

  • vous signez votre cinquième album « Après les heures grises ». Néanmoins, je ne résiste pas à l’envie de revenir sur le premier intitulé Pauline Croze. Quelques mots sur ce petit bijou inscrit dans les mémoires ,quel souvenir en gardez vous ?
    C’est le reflet de 25 ans de vie. J’étais fragile à cette époque d’où l’ambiance qui règne dans cet album. Je garde un souvenir de choses fortes, de beaux moments de scène. Et puis le succès a été au rendez vous avec un disque d’or, une nomination aux victoires de la musique. 

Je réalise davantage maintenant combien cet album a résonné auprès des gens.

  • Et puis il y a eu des albums co-écrit
  • Oui dans l’avant dernier album, j’ai travaillé avec Ours. Là je collabore avec Tim Dup, par exemple et cela donne différentes ambiances, différents climats. 
  • Qu’est-ce que les morancéens vont entendre lors de ce concert ?
  • Les spectateurs de ce concert vont à la fois danser puis être plongés dans une ambiance intimiste au gré des morceaux. Avec mes musiciens nous avons fait un vrai travail d’homogénéisation pour que le concert soit vraiment un « tout », avec des morceaux de mes 5 albums
  • Et un concert en plein air, c’est différent pour vous ?
  • J’ai fait de très grandes scènes de plein air comme le Paleo Festival ou le NJP. J’aime autant ces grandes scènes que les petites car je parviens bien à tenir ma scène même si elle est imposante. Ma musique y trouve sa place.
  • Vous êtes compositrice et interprète. Que ressent-on quand on livre ses chansons au public ?
  • C’est comme un aboutissement. Là tout y est mouvant, la chanson se recréée avec l’énergie émanant du public. C’est là où je me sens la plus vivante car tout y né, c’est presque « mythologique ». La scène me transcende

 

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